Pêcher
Premièrement, le pêcher, (Prunus persica (L.) Batsch) est une espèce d’arbres fruitiers de la famille des Rosaceae, cultivée pour son fruit comestible.
D’abord, c’est un arbre fruitier à écorce lisse, haut de 2 à 7 mètres, à croissance rapide.
De plus, ses feuilles caduques acuminées sont vert franc et dégagent une légère odeur d’amande.
Puis elles sont longues de 8 à 15 centimètres sur 2 ou 3 centimètres de large avec un court pétiole de part et d’autre des nectaires.
Premièrement, leurs fleurs roses apparaissent avant les feuilles à la fin de l’hiver ou début du printemps.
Deuxièmement, elles sont hermaphrodites, à cinq pétales, vingt à vingt-cinq étamines et un style.
Bien que, le pêcher est une espèce à autogamie préférentielle, avec 5 % de fécondations allogames observées en conditions naturelles1.
De plus, les autofécondations se réalisent facilement et le pêcher a une tendance non apicale.
C’est-à-dire que lors d’une taille, il repart plutôt de la base au détriment de la cime.
Pour les cultiver, il est difficile de les mettre en pot à moins de les remettre en pleine terre régulièrement pour leur redonner de la vigueur.
Ensuite, il est cultivé en plein-vent.
Puis, la multiplication se fait par semis ou par multiplication végétative.
Enfin, on peut utiliser comme porte-greffe, selon le type de sol :
- un pêcher franc (‘Chanturgue’, ‘GF 305’) ;
- un prunier ‘Ferdor’ ;
- un hybride Pêcher × Amandier ‘GF 677’.
Le pêcher fructifie généralement vers l’âge de 7 ans et peut produit pendant 15 à 20 ans.
Il est une espèce à autogamie préférentielle.
Le pêcher est souvent sensible à la cloque du pècher qu’on peut traiter à la bouillie nantaise ou à la bouillie bordelaise.
Il existe toutefois des variétés plus ou moins tolérantes ou résistantes à la cloque : Alberge, Angevine de Marmande, etc..
Il est également sensible à l’oïdium.
Le pêcher peut être contaminé par le virus sharka.
Pour conclure, dans chaque groupe, il existe des fruits à chair blanche, à chair jaune ou sanguine.