Olivier

Pour commencer, l’olivier (Olea europaea) est un arbre fruitier qui produit les olives.

Un fruit consommé sous diverses formes et dont on extrait une des principales l’huile d’olive.

De plus, c’est la variété, domestiquée depuis plusieurs millénaires et cultivée dans les régions de climat méditerranéen.

Cependant, très rameux, au tronc noueux, au bois dur et dense, à l’écorce brune crevassée.

Il peut atteindre quinze à vingt mètres de hauteur, et vivre plusieurs siècles.

Ainsi, sous l’action d’animaux de pâture, ou dans des zones extrêmement ventées, ou exposées aux embruns.

Il conserve une forme buissonnante, de défense, et maintient la forme d’une boule compacte et impénétrable, lui donnant l’aspect d’un buisson épineux.

Toutefois, dans la plupart des modes de culture, les oliviers sont maintenus à une hauteur de trois à sept mètres afin de faciliter leur entretien et la récolte des fruits.

Les feuilles sont opposées, ovales allongées, portées par un court pétiole, coriaces, entières, enroulées sur les bords, d’un vert foncé luisant sur la face supérieure.

Puis, d’un vert clair argenté avec une nervure médiane saillante sur la face inférieure.

Le feuillage est persistant, donc toujours vert, mais cela ne veut pas dire que ses feuilles sont immortelles.

Elles vivent en moyenne trois ans puis jaunissent et tombent, principalement en été.

En cas de sécheresse, les feuilles sont capables de perdre jusqu’à 60 % de leur eau, de réduire fortement la photosynthèse.

C’est grâce à sa feuille que l’olivier peut survivre en milieu aride.

Pour terminer, quand il pleut, les cellules foliaires s’allongent pour emmagasiner l’eau.

Puis, en cas de sécheresse, les feuilles se rétractent et bloquent l’activité de photosynthèse au détriment des fruits.